La Liberté, 24 janvier 2020 – Même si la Suisse se place quatrième selon un classement mondial, elle n’échappe pas aux pots-de-vin. « Si ce résultat est réjouissant, il y a aussi des problèmes. Nous relevons trop souvent des cas de corruption aussi chez nous, par exemple dans le domaine des achats publics. Et nous devrions mieux régler et gérer les conflits d’intérêt qui existent à tous les niveaux de pouvoir », dit Martin Hilti, directeur de l’ONG Transparency International Suisse dans un interview accordé à la Liberté.