Le Temps, 17.11.2022 – La Suisse perd huit places au classement de l’indice global de corruption et atteint le 20e rang. La lutte contre les crimes en col blanc est lacunaire, dénoncent les experts. Martin Hilti, directeur de la section suisse de Transparency International, dénonce : «En Suisse, le champ d’application de la loi sur le blanchiment d’argent est trop étroit. En principe, seuls les intermédiaires financiers sont concernés, comme les banques, par le devoir de diligence et une obligation de communiquer aux autorités toute suspicion. »