RTS Info, 3.9.2019 – Un sondage de SRF Data montre qu’une grande partie des parties politiques communiquent leur budget électoral. Selon Martin Hilti, directeur de Transparency International Suisse, c’est en effet un pas dans la bonne direction, mais pas encore suffisante. Non seulement ne connaît-on toujours pas le budget de tous les partis, mais de plus, les informations budgetaires ne sont pas suffisantes : Il faut également avoir les informations sur les grands donateurs et combien ils investissent. Par ailleurs, ceci n’est pas limité aux élections, mais aussi valable pour les votations et le financement des partis politiques en générale.
«Wir kommen nicht um eine Regelung herum»
SRF News, 3.9.2019 – Gemäss einer Umfrage von SRF Data sind die Schweizer Parteien bei der Wahlkampffinanzierung transparenter geworden. Für Martin Hilti, Geschäftsleiter Transparency International Schweiz, ist das ein Schritt in die richtige Richtung. Allerdings reiche es bei weitem noch nicht aus. Einerseits würden weiterhin nicht alle Parteien ihre Wahlkampfbudgets offenlegen. Andererseits genüge es nicht, nur im Wahlkampf ein grobes Budget zu veröffentlichen.
Transparence : au niveau fédéral c’est encore très nébuleux
RTS Téléjournal 19:30, 1.9.2019 – Alors que la transparence gagne du terrain au niveau cantonal, la situation reste très nébuleuse au niveau fédéral. C’est pourquoi l’initiative sur la transparence exige que les partis ou comités au niveau fédéral rendent public leur financement. Éric Martin, président de Transparency International Suisse, critique l’opacité dans le financement de la vie politique en Suisse et analyse : « Il y a une méfiance à l’égard des élus. Pour corriger cette situation, il faut améliorer la transparence dans le financement politique ».
Transparence : le contre-projet est critiqué par la gauche comme par la droite
RTS 1 Le journal de 6h, 30.8.2019 – Le contre-projet à l’initiative sur la transparence est critiqué par le camps bourgeois autant que par les partis de gauche. Martin Hilti, directeur de Transparency International Suisse, estime quant à lui, que le texte proposé est une bonne base mais représente encore de graves lacunes : « Le contre-projet ne prévoit pas de contrôles, qui sont pourtant indispensables pour le bon fonctionnement d’une réglementation ». De plus, le seuil minimum pour la déclaration de dons reste trop élevé.
Transparence : le contre-projet ne séduit pas
Le Matin, 29.8.2019 – Le contre-projet indirect à l’initiative sur la transparence est critiqué par la gauche comme par la droite. Transparency International Suisse, quant à elle, estime que le contre-projet ne va pas assez loin sur des points essentiels pour garantir de manière efficace la transparence du financement de la vie politique. L’ONG relève que l’argent joue un rôle important dans tous les domaines de la société, y compris la politique. Son origine représente une source d’information pertinente pour l’électorat lorsqu’il se forge une opinion politique.
Un poison pour la démocratie
Le Courrier, 29.8.2019 – Les explications de Serge Dal Busco quant au don de 10 000 francs reçu de Manotel laissent apparaître des incohérences. Alors que ce sera au juge de décider s’il y a eu une violation du code pénal, le dommage causé par l’affaire est déjà énorme, affirme Martin Hilti, directeur de Transparency International Suisse. Son organisation demande un code d’éthique contraignant réglant les conflits d’intérêt, dons et invitations, incluant des sanctions en cas de non-respect. « Le droit pénal est la ligne rouge à ne pas franchir. Même si elle n’est pas dépassée, certains comportements sont déjà problématiques », estime M. Hilti. Il appelle également de ses vœux la mise en place rapide d’une réglementation complète portant sur la transparence sur le financement des partis politiques, des candidats et des votations.
Mehr Transparenz in der Sozialhilfe statt in der Politikfinanzierung?
Blick, 25.8.2019 – Die Staatspolitische Kommission des Nationalrats schlägt mehr Transparenz in der Sozialhilfe vor und fordert, die Daten von Gewerkschaftsmitgliedern und Sozialhilfeempfängern von der Liste besonders schützenswerter Daten zu streichen. «Transparenz brauchen wir in anderen Bereichen und zwar dringlich», hält Martin Hilti, Geschäftsführer von Transparency International Schweiz, fest. So etwa in der Politik. Im Gegensatz zum Rest Europas fehlten in der Schweiz gänzlich Regeln zur Transparenz der Finanzierung von Wahlen, Abstimmungen und Parteien.
Politik und Einladungen: versteckte Interessen
Corriere del Ticino, 19.8.2019 – Wenn Unternehmen Politiker und Politikerinnen zu Anlässen wie dem Filmfestival Locarno einladen und auch für Unterkunft und Verpflegung aufkommen, können sich unter bestimmten Umständen beide Seiten der Korruption strafbar machen. Die Angemessenheit der Einladungen müsse von Fall zu Fall geprüft werden, sagt Martin Hilti, Geschäftsführer von Transparency International Schweiz. Trotz der Skandale der letzten Jahre herrsche ein Mangel an Sensibilität: „Es gibt noch viel zu tun.“
Invitations VIP: le grand malaise des politiciens
Le Temps, 29.7.2019 – Par crainte d’être soupçonnés de corruption il devient toujours plus difficile pour les élus d’accepter invitations, réceptions et autres avantages. Alors que le Code pénal stipule que l’acceptation d’avantages «de faible importance» n’est en principe pas passible de poursuites pénales, même des actes apparemment anodins peuvent tomber sous le coup de la loi. Selon Martin Hilti, directeur de Transparency International Suisse, il faut toujours examiner le cas en cause. «Pour un festival, cela devient délicat, notamment si le ticket d’entrée est combiné par exemple avec une restauration généreuse» , prévient-il.
Schweiz verdient Millionen mit Geldwäscherei
Radio 24, 16.7.2019 – Der Anteil der Geldwäschereimeldungen in Zusammenhang mit Korruption hat sich in den vergangenen Jahren in der Schweiz markant erhöht. Dies geht aus einem nun vom Staatssekretariat für internationale Finanzfragen veröffentlichten Bericht hervor. Während dieser die bestehenden Schweizer Gesetzesbestimmungen und Gegenmassnahmen jedoch für ausreichend erachtet, hält Martin Hilit, Geschäftsführer von Transparency International Schweiz, im Interview fest: der erschreckende Befund der Bundesverwaltung stimme, die Schlussfolgerung dagegen einmal mehr nicht.